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Les enjeux du Droit des sociétés
Le droit des sociétés encadre la création, la gouvernance, le financement et la transmission de l’entreprise. Mal calibrés, les statuts, la répartition des pouvoirs entre dirigeants et associés, ou la documentation d’assemblée génèrent des risques de blocage, de responsabilité ou de perte de valeur. Un accompagnement expert permet d’aligner les intérêts, d’anticiper les transitions et de sécuriser la documentation corporate.
Nous vous mettons en relation avec des avocats en corporate : choix de la forme, rédaction des statuts et du pacte, délégations de pouvoirs, tenue des assemblées, conventions réglementées, cession de titres et gestion des conflits entre associés. L’objectif est de fiabiliser les décisions et d’installer une gouvernance lisible.
Choisir la bonne forme sociale, rédiger des statuts adaptés et organiser la gouvernance initiale sont déterminants pour l'entrée des associés, encadrer les dirigeants et préparer une levée de fonds. Les avocats référencés structurent l’actionnariat, calibrent les clauses clés (agrément, préemption, inaliénabilité), organisent les organes sociaux et sécurisent les apports. Ils mettent en place un corporate housekeeping conforme pour faciliter les contrôles et la diligence des investisseurs.
Nous vous mettons en relation, sous 48 h, avec des avocats en corporate sélectionnés pour leur maîtrise opérationnelle et leur expérience en entreprise et en cabinet.
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Derniers articles
FAQs
Droit des sociétés: structurer, sécuriser et gouverner
Enjeux fréquents des entreprises
Le droit des sociétés organise la vie de l’entreprise, depuis la rédaction des statuts jusqu’à la cession, en passant par la gouvernance des dirigeants et la tenue de chaque assemblée. Une architecture corporate claire protège la valeur, facilite le financement et réduit l’exposition aux risques. Par exemple, une start-up qui omet de prévoir un vesting dans le pacte peut se retrouver avec un associé inactif bloquant la cap table, ce qui ralentit une levée et inquiète les investisseurs.
Les dirigeants recherchent des dispositifs simples et opposables pour répartir les pouvoirs, tracer les décisions et anticiper les transitions. Les statuts doivent rester cohérents avec la pratique, tandis que le pacte encadre les entrées et sorties d’associés. Dans une ETI familiale, l’absence de délégations formalisées peut exposer le dirigeant à une responsabilité personnelle en cas d’engagement hors seuil. Un accompagnement externe permet de calibrer ces outils et d’éviter les angles morts.
La tenue régulière des organes sociaux est un enjeu récurrent. Procès-verbaux, rapports, convocations et feuilles de présence doivent être alignés avec la décision prise et les quorums. Une PME qui prépare une cession rapide sans housekeeping à jour risque un prix ajusté à la baisse après audit. En sécurisant l’assemblée annuelle et les conventions réglementées, l’entreprise gagne du temps lors d’un contrôle bancaire ou d’une due diligence de repreneur.
La fluidité des opérations de capital dépend de mécanismes précis d’agrément et de préemption. Sans articulation robuste entre statuts et pacte, une cession peut être contestée ou retardée. Exemple: un investisseur minoritaire invoque une clause d’information préalable non respectée, entraînant un référé et un gel du closing. Une documentation corporate cohérente réduit ces contentieux et sécurise le calendrier transactionnel.
Solutions actuelles
La pratique combine statuts sobres et pacte détaillé, afin de maintenir l’opposabilité des règles essentielles tout en réservant au pacte les modalités fines entre associés. Les dirigeants adoptent des délégations écrites, datées, avec seuils et reporting. Ainsi, une scale-up organise un comité d’investissement avec pouvoirs limités et PV dédiés, ce qui accélère les décisions tout en préservant la traçabilité et la responsabilité du conseil et du dirigeant signataire.
Pour les assemblées, les entreprises recourent à des calendriers annuels, des modèles de convocations et des registres numériques. Un contrôle de cohérence est réalisé entre décisions et objets statutaires, puis déposé au greffe si nécessaire. Par exemple, avant un financement bridge, la société vote l’augmentation de capital, met à jour les statuts, et documente le pouvoir de signature; l’investisseur obtient des documents fiables, ce qui réduit les conditions suspensives et sécurise la libération des fonds.
En cession, la documentation type LOI, SPA et garanties (GAP) est harmonisée avec les clauses d’agrément et d’inaliénabilité. Les vendeurs préparent une data room corporate complète: statuts, pacte, délégations, registres, conventions réglementées, derniers PV d’assemblée. Un dossier propre permet de négocier un mécanisme de prix plus favorable, par exemple un locked box, et de réduire les rétentions, car le risque perçu par l’acquéreur diminue.
En prévention des conflits, les pactes intègrent des clauses d’ajustement: médiation, expert, buy or sell, shot-gun, ou portage temporaire. Une minorité protégée par des droits d’information et un veto limité accepte plus facilement une relution. Dans une joint-venture, une clause d’escalade précise les délais et les effets; si l’accord échoue, une option d’achat avec formule de valorisation prédéfinie évite un contentieux prolongé et sécurise la continuité d’exploitation.
Bonnes pratiques
Rédiger des statuts lisibles et à jour, puis un pacte exhaustif mais opérationnel, constitue le socle. Chaque clause doit être testée sur des scénarios concrets: entrée d’un investisseur, départ d’un dirigeant, cession partielle, ou blocage en assemblée. Exemple: prévoir dans les statuts une clause d’agrément cohérente avec le pacte, et dans ce dernier un calendrier clair d’exercice des droits; cela limite les contentieux et permet d’exécuter une cession sans rupture de calendrier.
Formaliser les délégations et subdélégations avec un registre centralisé, daté, et assorti de seuils d’engagement, réduit l’incertitude. Un reporting mensuel au conseil ancre la gouvernance. Ainsi, un directeur financier bénéficie d’une délégation spécifique pour signer des contrats jusqu’à un certain montant; les décisions supérieures sont renvoyées à l’organe collégial. En cas d’audit, la traçabilité démontre la bonne répartition des pouvoirs entre dirigeants et associés.
Structurer le corporate housekeeping: calendrier, modèles de PV, suivi des conventions réglementées et vérification des quorums. L’usage d’outils de gestion de registres d’associés fiabilise les chaînes de titres. Par exemple, une société qui consolide ses registres avant un tour de table évite les écarts entre statuts et capital réel; l’assemblée d’augmentation est tenue avec des documents cohérents, ce qui rassure l’investisseur et accélère la levée.
Anticiper la cession: aligner la documentation, préparer les autorisations sociales et cadrer les garanties. L’acheteur sera attentif aux risques non couverts et à la conformité des décisions. Une ETI qui met en place un vendor due diligence corporate identifie en amont une convention réglementée non approuvée; une régularisation en assemblée évite une réduction du prix et protège l’exécutabilité de la garantie d’actif et de passif négociée.
Contentieux et risques courants
Les abus de majorité et de minorité sont fréquents lorsque les droits ne sont pas équilibrés. Un vote imposant une modification des statuts au détriment d’une minorité sans intérêt social peut être annulé. À l’inverse, un veto excessif paralyse l’assemblée. En amont, calibrer les seuils et droits spéciaux dans le pacte réduit le risque. En cas de litige, un référé pour obtenir un mandataire ad hoc peut restaurer la gouvernance et permettre une décision urgente.
Les conventions réglementées, si elles ne sont pas autorisées et approuvées selon la procédure, exposent à la nullité, à la responsabilité du dirigeant et à des restitutions. Une société ayant conclu un contrat intragroupe sans approbation en assemblée peut faire face à une contestation en cas de conflit d’intérêts. La mise en place d’un processus d’alerte et d’un registre dédié limite ces risques et facilite la preuve de la bonne information des associés.
En cession, les litiges portent sur l’interprétation des mécanismes de prix, le périmètre des garanties et les déclarations d’exactitude. Un vendeur qui n’a pas révélé une convention significative s’expose à une réclamation sous GAP. La clarté des annexes, la matérialité des seuils et la procédure de notification des claims sont essentielles. Une documentation méthodique réduit la fréquence des différends et facilite les règlements amiables avant arbitrage ou juridiction.
La contestation d’assemblée pour irrégularité de convocation, quorum ou vote est un risque constant. Un oubli de convocation d’un associé ou une incohérence entre l’ordre du jour et la résolution peuvent entraîner l’annulation. La mise en place d’un contrôle préalable et d’une checklist de conformité avant chaque séance, avec relecture par un avocat, réduit fortement la probabilité d’un contentieux et protège la stabilité des décisions corporate.
Approche SWIM
Nous vous mettons en relation avec des avocats en droit des sociétés sélectionnés pour leur pratique opérationnelle: ils analysent votre organisation, actualisent les statuts et optimisent le pacte pour aligner dirigeants et associés. Leur approche privilégie la clarté documentaire et la preuve. Par exemple, ils réécrivent une clause d’agrément pour sécuriser une cession à court terme tout en préservant les droits de préemption, afin de maintenir une gouvernance apaisée.
Les interventions sont calibrées selon le besoin: détachement pour piloter le corporate housekeeping et les assemblées, externalisation d’un dossier de cession, consultation sur une clause sensible, ou contentieux ciblé. Un reporting structuré permet aux dirigeants d’arbitrer rapidement. Lors d’une levée, l’avocat harmonise statuts et pacte, prépare les délégations de signature et encadre l’assemblée d’augmentation, ce qui facilite les décaissements et sécurise le calendrier.
La méthode combine diagnostic, cartographie des risques et plan d’actions priorisé. Les documents clés (statuts, pacte, délégations, PV d’assemblée, registres d’associés) sont revus pour cohérence et opposabilité. Exemple: dans une ETI multi-sites, l’avocat met en place un référentiel de délégations avec seuils et révocations automatiques en cas de départ, ce qui réduit les risques de signature irrégulière et protège la responsabilité du dirigeant.
Enfin, en cas de litige, les avocats mobilisés privilégient une résolution rapide: médiation, protocole de sortie, ou action en référé pour rétablir la gouvernance. La stratégie s’appuie sur la preuve documentaire et l’intérêt social. Dans un conflit entre associés, la mise en œuvre d’une option d’achat préconvenue dans le pacte, assortie d’une formule de valorisation, permet de clore le différend sans interrompre l’activité et de préserver la valeur de l’entreprise.
Pourquoi confier vos enjeux en Droit des sociétés à SWIM ?
Nous sélectionnons des avocats en corporate expérimentés, référencés pour leur rigueur documentaire et leur pratique opérationnelle. Ils interviennent rapidement, en cohérence avec vos contraintes et votre gouvernance. La mise en relation est structurée, la confidentialité garantie et le suivi assuré. Vous bénéficiez d’un accompagnement fiable, conforme et réactif pour sécuriser statuts, pacte, assemblée, dirigeants, cession et relations entre associés.


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